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💥🔥FURIOSA : UNE SAGA MAD MAX 💛💛💛💛💛💛 Soyez témoins ! Ce préquel sous acide est le digne opus que nous attendions de la saga #madmax après le carton de #furyroad en 2015. Il aura donc fallu presque 10 ans à George Miller pour accoucher de ce film de sa saga commencée en 1979 avec Mel Gibson plus jeune et beau que jamais... Non, je n'étais pas encore né, je vous vois venir ! #furiosa nous invite à découvrir comme son nom l'indique l'histoire d'un des personnages principaux de Fury Road mais permet surtout au réalisateur de développer les origines de la mythologie développée dans son précédent film, et nous retrouvons donc quelques personnages emblématiques tels qu'Immortan Joe... Et nous découvrons aussi de nouveaux énergumènes tous plus charismatiques les uns que les autres. Le même vent de folie furieuse souffle sur les plaines de la Désolation, et le retour dans cet univers dystopique est un plaisir coupable qu'on ne saurait bouder. Bon, y a bien quelques impressions écran vert qui se dégagent de certaines scènes (oups !) mais globalement, c'est un enchantement visuel (effrayant et nerveux !). Le sound design ne nous laisse aucun répit avec quasi la même partition que Fury Road. Le film sait nous secouer mais aussi nous émouvoir par fulgurances, par ses touches d'humanité au sein même de l'enfer... et nous donne également quelques notes de philosophie lors de dialogues toujours finement ciselés. Il n'est pas nécessaire d'avoir vu le film d'avant pour apprécier Furiosa qui peut se concevoir comme une histoire indépendante mais bien sûr, c'est mieux de le faire ensuite pour mieux comprendre les clins d'œil qui émaillent le métrage régulièrement et jouent sur nos attentes (de fan). Bonne séance si vous y allez, prenez du pop-corn et à boire... Vous en aurez pour 2h25 d'éblouissement sensoriel ! Xxo #madmaxfuriosa #avisfilm #chroniquedefilm

🎬🪓WHEN EVIL LURKS (CUANDO ACECHA LA MALDAD) 💛💛💛💛🖤🖤 ... autrement dit Quand se répand le Mal ! Nous sommes en présence du Malin avec ce film argentin à petit budget (qui se voit et se sent mais avec quelques bonnes idées et du bricolage, ça passe !). C'est clairement un OFNI dans le paysage ciné actuel où peu de films d'horreur mainstream atteignent nos salles donc, imaginez pour un film auteuriste venu d'Amérique du Sud... Le pitch est aussi culotté qu'efficace : une poignée de personnages plutôt ruraux tentent de fuir une entité démoniaque venue infester leurs terres. Voilà, je n'en dis pas plus, pour ne pas vous gâcher les petites subtilités et surprises du film si jamais vous décidez d'aller le voir. Sachez tout de même que le film a récolté une interdiction aux moins de 16 ans pour son exploitation en France. Sûrement pour ses quelques scènes un peu sanglantes, son ambiance creepy perturbante et un peu d'audace conceptuelle. J'ai bien aimé l'atmosphère malsaine, suintante et campagnarde à la Massacre à la tronçonneuse. J'ai beaucoup moins aimé les cadrages hasardeux et la pellicule très direct-to-DVD pas très seyante mais je suppose que le film n'était pas promis à débarquer dans les salles obscures du monde entier, donc encore moins celle du Pathé Orléans Place de Loire 🤣😂 donc bon, c'est un peu mal filmé, mal fichu parfois, cheesy et cheap... ... mais c'est finalement ce qui fait un peu son charme aussi ! Dans ma carrière de cinéphile, j'ai vu pas mal de films de série b voire z, et celui-ci oscille souvent entre les deux. Toutefois, son approche divergente et osée a quelque chose de rafraîchissant qui manque terriblement aux (rares) blockbusters américains qu'on nous balance récemment. C'est ce côté irrévérencieux et fataliste qui m'a plu et me fait passer outre les défauts formels pour vous conseiller - à condition d'être plutôt amateur de ce genre de cinéma et tolérant sur la forme, sinon oubliez l'idée - d'aller voir ce brûlot (im)pertinent. Peut-être que comme moi, devant certaines séquences, vous serez à la fois choqué et secrètement amusé... 🪓🎬 #avisfilm #whenevillurks #cuandoacechalamaldad #chroniquedefilm

"𝔹𝕚𝕘 𝔽𝕚𝕤𝕙", ᴜɴ ꜰɪʟᴍ ᴅᴇ ᴛɪᴍ ʙᴜʀᴛᴏɴ. 𝗔𝘃𝗲𝗰 : Ewan McGregor, Albert Finney, Helena Bonham Carter, Marion Cotillard, Matthew McGrory... (𝑹é𝒔𝒖𝒎é : 𝒑𝒉𝒐𝒕𝒐 𝟐) (Film 3/8 des #NouveauxOscars de @writtingbyatraveler ) Même si au début on ne sait pas trop où on va, le film est tout de suite prenant et nous 𝑝𝑙𝑜𝑛𝑔𝑒 totalement dans l'histoire, à l'image d'un 𝑔𝑟𝑜𝑠 𝑝𝑜𝑖𝑠𝑠𝑜𝑛. C'est du Tim Burton et ça se ressent ! On retrouve l'ambiance qu'il sait si bien retranscrire, son univers onirique et loufoque, et les valeurs qu'il véhicule. C'est une histoire douce, pleine de magie et de féerie, à la fois légère et dramatique. Avec également ce côté poétique de la vie, de l'amour, et une infinie tendresse qui se dégagent de cette œuvre. Ce film aborde de nombreux sujets importants avec brio tels que la mort, le deuil, les dysfonctionnements relationnels et la mauvaise communication, et j'en passe. Tout y est traité avec une grande justesse. J'ai souvent dit que le fait de savoir notre façon de mourir pouvait influer directement sur notre comportement, car on saurait qu'on ne peut pas mourir d'une autre manière. Et ce film décrit extrêmement bien ce cas de figure ! J'ai trouvé l'histoire d'amour vraiment belle, si on met à part le côté "forceur" d'Edward. Elle est magnifique, cet amour est pur et véritable et tous deux s'aiment comme au premier jour, jusqu'à la toute fin. Edward se bat comme un lion pour Sandra sa bien-aimée, dès le début, et c'est vraiment très beau. De nombreuses scènes sont extrêmement touchantes et émouvantes. Autant que la plupart des personnages d'ailleurs, qui forment une vraie famille comme on peut le voir à la fin, grâce à la gentillesse et à la fantaisie dont a fait preuve Edward Bloom tout au long de sa vie. Ce que j'ai trouvé dommage dans ce film c'est qu'il valorise le fait de déformer la réalité, c'est-à-dire qu'il prône le mensonge en quelque sorte, même si c'est tourné de manière édulcorée. Et ça je n'aime pas du tout, je ne suis pas fan de ce type de messages, de valeurs. Le plus important est bien entendu la relation entre le père et le fils, et c'est très bien fait, mais il est (fin en commentaire épinglé ⬇️)

⚔️💣CIVIL WAR 💛💛💛💛💛💛 Pendant mes vacances à Toulouse, je suis allé voir ce film dont je n'attendais rien en particulier mais j'ai adoré l'ancrage du motif post-apo dans le réel présenté par cette histoire qui montre sans tout expliquer et qui donne à réfléchir tout en nous emmenant sur un grand huit d'émotions diverses. Bon, c'est très américain, hein, là-dessus pas de doute. On doit cependant ce film au très British écrivain et scénariste devenu réalisateur Alex Garland qu'on a tous connu avec son roman La Plage, dont il a écrit aussi la version portée à l'écran par Boyle. Il a aussi scénarisé l'excellent Sunshine du même réal... Bref, du talent à revendre, avec une curieuse façon de faire du bankable à la fois audacieux et pop. Ici, l'audace réside dans le POV : filmer la guerre dans des USA post-apocalyptiques, pas si éloignés de maintenant, du point de vue d'une équipe de journalistes photo, reporters de l'extrême, aussi dysfonctionnels que complémentaires dans le feu de l'action. Bon, perso, j'ai haï le perso de Jessie (la jeune) même si j'ai compris la philosophie très actuelle se cachant derrière. Et j'ai par contre adoré la prestation enlevée et hypnotique de Kirsten Dunst qui crève l'écran et le hante avec toute la profondeur de son jeu. Un comeback inattendu et fracassant. Une beauté naturelle qui assume son âge véritable (elle fête ses 42 ans demain, soit dit en passant !) au contraire de nombre de ses congénères actrices refaites de partout et qui courent après la jeunesse éternelle, bref, je ne vous apprends rien sur ce thème... Le film m'a totalement embarqué dans sa dynamique de type caméra au poing. Ses séquences les plus dures ont eu un effet maximisé par mon implication émotionnelle mais je ne suis pas sûr que la méthode parlera à tout le monde, d'aucuns pourraient trouver le film ennuyeux ou poseur par moments. C'est une expérience qui se veut individuelle et à laquelle on adhère finalement... ou pas ! Bref, un coup de cœur instantané et inattendu pour ma part. Xxo #avisfilm #chroniquedefilm #civilwar #kirstendunst

𝑪𝒉𝒓𝒐𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝒇𝒊𝒍𝒎 "𝐅𝐢𝐠𝐡𝐭 𝐂𝐥𝐮𝐛" Avec : Edward Norton, Brad Pitt, Helena Bonham Carter, Jared Leto, Meat Loaf... (Résumé : photo 2) Vraiment ce film est ouf !! Je ne m'attendais pas à ça du tout, et encore moins quand j'ai commencé à le regarder ! Surtout que je n'avais aucune idée du plot, je l'ai lancé à l'aveugle (comme la plupart des films que je regarde pour Les Nouveaux Oscars de @writtingbyatraveler 🤪). Le début n'est pas vraiment le style de film que j'apprécie, j'ai eu un peu de mal car c'est très spécial. L'atmosphère de ce film est vraiment particulière. Si ce n'était pas pour le challenge je ne l'aurais peut-être pas regardé en entier. Mais la fin a complètement changé la donne ! Elle est très surprenante, et incroyable ! 🤯 Mais j'aurais pu me douter de cette révélation, car il y a quelques indices et surtout, je suis un adepte de ce genre de concept ! J'aurais pu y penser !! Mais tout est si bien ficelé ! Cette fin nous laisse quand même avec quelques petites questions, mais ce n'est pas dérangeant. Je trouve qu'elle se suffit à elle-même, et que ces interrogations sont même les bienvenues. Je pense qu'avoir toutes les réponses aurait ici tout gâché. De plus, le but du film n'est pas là, mais plutôt dans les messages qu'il voulait transmettre. J'ai justement bien aimé le message global du film. Avec le rejet de la société, le rejet de la vie, qui fait que l'on sombre, encore et encore, dans des travers pour se donner l'illusion de vivre, mais ne fait que nous détruire plus encore. Avec le Fight Club qui existe pour se sentir vivre, se sentir exister, pour avoir un but ou juste ressentir, alors même que l'on est mort de l'intérieur. Avec le manque de but, d'objectif, d'envie de vivre. L'inutilité de ce qui est matériel, l'absence de sens à l'existence, la vie vide. Ça fait réfléchir. Je me suis souvent demandé où allait ce film, je ne comprenais pas où l'intrigue voulait en venir. Je trouvais le scénario bizarre, avec un fil rouge qui semblait se perdre un peu. Mais plus on avance dans l'histoire, plus tout prend sens. Pour au final nous laisser complètement accro. J'ai été bluffé par (suite en commentaire épinglé ⬇️)

Monstres Academy, 2013 Film d'animation @waltdisney réalisé par @mrdanscanlon, nous amène à l'époque qui précède le film Monstre et Cie. Nous suivons Bob Razowski qui entre à l'université dans l'espoir de devenir une terreur d'élite. Malheureusement, rien ne se passe comme il l'espérait. Rapidement ridiculiser et rabaisser, il doit redoubler d'efforts, de persévérance et de volonté pour prouver sa valeur aussi bien à son compagnon d'infortune James P. Sullivan, qui deviendra son meilleur ami, dont le nom célèbre ne l'aide en rien et à Madame Hardscrablle, directrice de l'université. C'est au travers de l'adversité, de dépassement de soi, que Bob trouvera sa valeur et nouera de véritables amitiés, notamment avec d'autres élèves tout autant rejetés que lui. Véritable film d'animation sur le dépassement de soi et le fait de tout donner pour arriver à ses rêves, Monstres Academy nous montre que le jugement des autres ne doit en aucun  cas nous arrêter et que c'est à nous que revient la capacité de devenir ce que nous voulons être. #waltdisney #monstresacademy #danscanlon #classiquedisney #filmdanimation #bobrazowski #jamespsullivan #helenmirren #depassementdesoi #realisersesreves #etresoimeme #chroniquedefilm #chroniquecinema #chronique

🍼😈 LA MALÉDICTION L'ORIGINE 💛💛💛💛💛💛 Quand j'étais gosse, j'avais été effrayé par #lamalediction aka Damien aka L'enfant du diable aka 666, film des années 70 qui misait sur une formule gagnante : l'émergence du Malin dans un quotidien hyper réaliste, un peu comme Michael Myers débarquait quelques années plus tard en banlieue pour terroriser Jamie Lee Curtis en baby-sitter, ou comme le démon qui prenait possession d'une gosse dans L'Exorciste. C'est la force de ce genre de film : s'inscrire dans une forme de réalisme oppressant au sein duquel le mal peut surgir de manière intempestive. Et ce préquel ne déroge pas à la règle. L'esthétique léchée (très prononcée dans le remake de 2006), qui est un peu la distinction de #theomen dans le genre, transparaît ici dans une reconstitution audacieuse de l'Italie catho des seventies, à la fois plaisante et furieusement vivante, mais aussi pleine de contradictions, sur lesquelles ériger un contexte parfait pour effrayer. Nous suivons l'arrivée, dans un couvent de Rome, d'une jeune américaine se destinant à prendre le voile en Italie après un trajet de vie compliqué dans son pays d'origine... Toute ressemblance avec le très récent et excellent #immaculee serait totalement fortuite et pourtant, impossible de ne pas comparer les deux ! S'ensuivent des déboires d'intégration avec les bonnes-soeurs plutôt revêches qui l'accueillent, et une myriade d'orphelines vivaces dont une mystérieuse gamine se distingue par une attitude disons... inappropriée. La violence graphique est à la fois incisive et faussement frontale, j'ai trouvé que c'était brillant, cette approche. Le film joue davantage sur l'épouvante atmosphérique que sur l'horreur à proprement parler, même si quelques séquences sont un peu craspec ! Et le lien avec le film fondateur est établi de manière fluide, ce qui donne d'ailleurs envie de le revoir ! Donc pour une fois qu'un préquel horrifique est aussi réussi, il faut le dire... N'hésitez pas à aller le voir pour vous ambiancer sur le thème flippe catholique, même si ce n'est finalement pas du tout le même film qu'Immaculée dans son traitement global. 😈🍼 #avisfilm #chroniquedefilm #thefirstomen

Alice au pays des Merveilles, 1951 Adapté du livre Les Aventures d'Alice au pays des Merveilles, de Lewis Caroll publié en 1865, ce film d'animation est réalisé par Clyde Geronimi, Hamilton Luske, Wilfred Jackson et Ben Sharpsteen. Dans ce 17ème long métrage produit par Disney, nous suivons, Alice, jeune fille de bonne famille, qui cherche à échapper aux convenances et trouve du répit au pied d'un arbre où elle se repose jusqu'à ce qu'un lapin blanc s'exclamant "je suis en retard" et plongeant dans son terrier, arrive. Intriguée et curieuse, elle décide de le suivre et tombe finalement dans un puit l'emmenant directement au pays des Merveilles. Là, elle rencontre des personnes plus étranges les unes que les autres, certains l'aidant, d'autre non. Tout au long du voyage d'Alice, le spectateur se retrouve perdu, ne sachant pas si il se trouve dans la réalité ou dans l'esprit d'Alice. Récit sur l'imagination, ce film d'animation est une magnifique métaphore des méandres de notre imagination ! Joyeux non-anniversaire à tous et à toutes ! 😁 #aliceinwonderland #lewiscaroll #waltdisney #grandclassique #clydegeronimi #hamiltonluske #wilfredjackson #bensharpsteen #filmdanimation #classiquedelanimation #classiquedelalitterature #nonanniversaire #chroniquecinema #chroniquedefilm #chronique

Tarzan, 1999 Film d'animation @waltdisney, réalisé par Kevin Lima et Chris Buck, adapté du livre éponyme de Edgar Rice Burroughs. Un jour en pleine mer, un naufrage survient, des parents et leur bébé survivent et se retrouvent échoués sur une île à bord de leur canot de sauvetage. Ils commencent alors une nouvelle vie sur cette terre d'acceuil, érigeant au sommet d'un arbre, leur nouvelle demeure. Malheureusement, ils subissent l'attaque de Sabor, une femelle léopard. Orphelin, le bébé est protégé et recueilli par Kala, une gorille, devenant ainsi Tarzan, son fils adoptif. Devenu adulte, Tarzan voit débarquer sur l'île où il vit avec sa famille d'adoption, un scientifique, le professeur Porter, sa fille, Jane et Clayton leur "protecteur", spécialiste des expéditions. Intrigué, Tarzan découvre des semblables et veut apprendre, mais ne voit pas le danger qui guette. Dans Tarzan, plusieurs réflexions sont posés au spectateur. Celle de la relation de l'homme à la nature, aux animaux au travers du personnage de Clayton. Celle de notre différence par rapport à ceux que nous appelons animaux. N'en sommes nous pas nous même, après tout nous sommes des mammifères. Celle de l'acceptation de l'autre, de l'apprentissage. Et enfin de ce qu'est une famille. Après tout, Tarzan est adopté par une gorille. Là encore, la question des liens du sang pour définir la famille est remis en question, prônant avant tout la famille de cœur. #tarzan #waltdisney #grandclassique #classiquedisney #chrisbuck #kevinlima #edgariceburroughs #ecology #chosenfamily #familledecoeur #relationalanature #janeporter #kala #chroniquecinema #chroniquedefilm #chronique

"OHANA signifie famille, et famille signifie que personne ne doit être abandonné, ni oublié." Lilo et Stitch, 2002 Soixante seizième film d'animation @waltdisney, réalisé par @chrissandersart et @dean.deblois, ce film nous amène dans l'espace pour suivre les aventures de l'expérience 6-2-6, fugitif, créé par le professeur Jumba. Aberration génétique crée de toutes pièces, il est ordonné par le haut conseil galactique qu'il soit condamné à l'exil sur un astéroïde. Malheureusement pour eux, rien ne se passe comme prévu, puisque 6-2-6 s'échappe à bord d'un vaisseau durant son voyage de transfert et atterri sur Terre en plein milieu de l'archipel d'Hawaii. Tandis que 6-2-6 fraîchement adopté par Lilo et sa grande soeur Nani, deux orphelines, est renommé Stitch, celui-ci va devoir apprendre a contrôler son caractère destructeur et apprendre ce qu'est une famille, tout en essayant d'échapper à Jumba et à Pleakley venu pour le ramener. Plus qu'un film d'animation, Lilo et Stitch, nous montre que la famille peut prendre différente forme et que chacun à la sienne, qu'elle soit du sang ou non, tout comme il nous apprend à accepter l'autre, malgré nos différences. Un véritable coup de coeur ❤ Un film à voir et à revoir 😄 #liloetstitch #liloandstitch #waltdisney #filmdanimation #animatedmovie #chrissanders #deandeblois #elvispresley #hawaii #ohanasignifiefamille #ohanameansfamily #chroniquecinema #chroniquedefilm #chronique

🎬🍿VAMPIRE HUMANISTE CHERCHE SUICIDAIRE CONSENTANT 💛💛💛🖤🖤🖤 Sorte de conte allégorique sur le dur passage de l'enfance à l'adolescence et ses montées hormonales... ce film de vampires québécois pas tout à fait comme les autres n'est pas inintéressant en soi, et non dénué de touches humoristiques attrayantes, mais c'est plutôt la forme que le fond qui ne m'a que moyennement convaincu. On suit le parcours initiatique compliqué de Sasha, jeune vampire qui ne sait pas tuer pour se nourrir et dont la famille a décidé de lui couper les vivres, c'est à dire l'approvisionnement en sang, la mettant en danger et l'obligeant à prendre des dispositions pour survivre. Au hasard d'une nuit de perdition, elle croise le chemin d'un humain qui tente de se jeter du toit d'une bâtisse... D'emblée, je peux dire que la direction d'acteur ne m'a pas plu, ainsi que le montage laxiste en manque de cut (sic) ! De nombreuses séquences sont laissées en roue libre, et se jouent de notre patience, atténuant un effet comique réussi à la scène d'avant... Ce qui crée un défaut de rythme plutôt agaçant qui m'a parfois fait lever les yeux au ciel... J'ai aimé les parallèles freudiens audacieux entre cette tranche de vie vampirique et des thèmes comme la puberté, la première fois, le coming out, etc. C'était vraiment brillant. Sinon c'est plutôt bien filmé dans l'ensemble, et inspiré. Et l'accent québécois... J'adore 😜 Mais voilà, j'ai trouvé le film inutilement poseur et long... Donc le concept était génial en soi, mais dans les faits, pour moi c'est un élégant et séduisant ratage. Une sorte de Morse (ou son remake Laisse-Moi Entrer) version Wish, en quelque sorte... 🤔 #avisfilm #chroniquedefilm #vampirehumanistecherchesuicidaireconsentant

🎞DOUBLE IMPACT 🎞 Réalisateur 🎥 Sheldon Lettich. Scénario 📒 Sheldon Lettich & @jcvd . Casting 🎭 Jean Claude Van Damme, Geoffrey Lewis, Alan Scarfe, Phil Cha Yan Kin, @officialboloyeung , @officiaicoreversonn_ , Alona Shaw. @therealkamelkrifa Durée : 111 minutes. Année : 1991. Après le film Bloodsport (1988) avec Jean-Claude Van Damme , rapidement suivi par des succès populaires comme Cyborg (1989) et Kickboxer (1989), les « Muscles de Bruxelles » revient pour Double Impact (1991), offrant au public un double rôle de l'acteur et des combats intenses. Incarnant Chad et Alex, deux frères jumeaux perdus depuis longtemps qui unissent leurs forces à contrecœur pour affronter l'homme qui a fait assassiner leurs parents avec l'aide des triades, notre légende belge des arts martiaux offre de nombreuses sensations fortes dans ce thriller d'action rapide. Jean Claude a été très impliqué dans ce film, non seulement en y jouant (deux fois !), mais il a également co-écrit le scénario et contribué à sa production. Et cela se voit, car il donne une performance engagée, essayant vraiment de faire en sorte que les frères jumeaux se démarquent l' un de autre. Non seulement ils s’habillent très différemment et se coiffent de manière très différente, mais ils arborent également des voix différentes et des personnalités distinctes. Chad a grandi à Los Angeles et est quelque peu naïf face aux habitudes du monde, alors qu'Alex est beaucoup plus las du monde, ayant grandi dans les rues chaotiques de Hong Kong, et est un criminel de bas niveau, vendant des voitures volées et faisant de la contrebande. cigarettes et alcool dans le pays. Cependant, malgré toutes ses postures machistes, Alex est toujours un bon gars dans l'âme et très amoureux de sa petite amie (interprétée par la jolie Alona Shaw). #Jeanclaudevandamme #JCVD #DoubleImpact #Cinema #ChroniqueDeFilm

#cyclejeanclaudevandamme 🎞DOUBLE IMPACT 🎞 Réalisateur 🎥 Sheldon Lettich. Scénario 📒 Sheldon Lettich & Jean Claude Van Damme. Casting 🎭 Jean Claude Van Damme, Geoffrey Lewis, Alan Scarfe, Phil Cha Yan Kin, Bolo Yeung, Cory Everson, Alona Shaw. Durée : 111 minutes. Année : 1991. Après le film Bloodsport (1988) de Jean-Claude Van Damme , rapidement suivi par des succès populaires comme Cyborg (1989) et Kickboxer (1989), les « Muscles de Bruxelles » reviennent pour Double Impact (1991), offrant au public un une pièce à double rôle de combat amusant à indice d'octane élevé. Incarnant Chad et Alex, deux frères jumeaux perdus depuis longtemps qui unissent leurs forces à contrecœur pour affronter l'homme qui a fait assassiner leurs parents avec l'aide des triades, notre légende belge des arts martiaux offre de nombreuses sensations fortes dans ce thriller d'action rapide. Jean Claude a été très impliqué dans ce film, non seulement en y jouant (deux fois !), mais il a également co-écrit le scénario et contribué à sa production. Et cela se voit, car il donne une performance engagée, essayant vraiment de faire en sorte que les frères jumeaux se démarquent les uns des autres. Non seulement ils s’habillent très différemment et se coiffent de manière très différente, mais ils arborent également des voix différentes et des personnalités distinctes. Chad a grandi à Los Angeles et est quelque peu naïf face aux habitudes du monde, alors qu'Alex est beaucoup plus las du monde, ayant grandi dans les rues chaotiques de Hong Kong, et est un criminel de bas niveau, vendant des voitures volées et faisant de la contrebande. cigarettes et alcool dans le pays. Cependant, malgré toutes ses postures machistes, Alex est toujours un bon gars dans l'âme et très amoureux de sa petite amie (interprétée par la jolie Alona Shaw). #jeanclaudevandamme #jcvd #doubleimpact #cinema #chroniquedefilm

🕊️🎬 IMMACULÉE 💛💛💛💛💛💛 Vu en avant-première ce soir lors d'un #vendredidelhorreur au #pathé Place de Loire d'Orléans... La BA m'avait séduit par son incongruité et son efficacité dans un paysage horrifique de plus en plus aseptisé... ... Et je n'ai pas été déçu du résultat final ! Ici, pas d'Exorciste ou de Nonne diabolique (quoique !), #immaculee joue la carte de la sobriété en termes de fantastique, préférant miser sur l'atmosphère flippante des lieux de culte ou d'une cellule, et ancrer l'horreur dans une violence de tous les instants, graphique mais surtout psychologique. La musique est délicieusement sainte et macrabre à la fois, à l'instar du film lui-même... Un cocktail détonnant dans des décors somptueux et pleins de secrets où on s'attend toujours à voir surgir une ombre encapuchonnée... (le design sonore renforce cette impression) Nous suivons les premiers pas dans la vocation de Soeur Cecilia, une jeune américaine appelée à intégrer pour cela un couvent italien pour le moins mystérieux et pas très catholique (quoique !), où tirage de couettes et apparitions fantomatiques à la lueur d'une bougie sont au programme... Le dernier segment du film offre un paroxysme d'angoisse qui n'est pas sans rappeler #rec dans sa construction scénographique... Et dans sa générosité en termes de sueurs froides... Que du bon, en somme ! 😱 Sinon, c'est la première fois qu'un lieu de culte me fait autant flipper au ciné... Donc rien que pour ça, je ne regrette pas d'être allé en salle obscure ! De ce point de vue, on a affaire à une masterclass en termes d'ambiance et d'utilisation du champ/hors-champ... Irrévérencieux, audacieux, nerveux et iconoclaste, Immaculée est la première vraie bonne surprise horrifique de 2024... 🖤🕊️🎬🍿 Bizarre que la Censure et la bienpensance ne soient pas passées par là pour fustiger que dis-je ? Flageller ce scandaleux brûlot ! 🤔 En vrai, l'idée derrière l'intrigue du film est simple et géniale... 😉👍🏼 #avantpremiere #avisfilm #filmdepouvante #filmdhorreur #horreur #chroniquedefilm

Shazam Fury of the Gods, David F. Sandberg (@ponysmasher) , 2023 Dans ce second volet des aventures de Shazam (@zacharylevi), nous retrouvons Billy Batson (@asherangel) en proie au doute sur sa qualité de super-héros autant que tiraillé par la peur de devoir quitter sa nouvelle famille car il est sur le point d'atteindre ses dix-huit ans. Une famille qu'il aime, mais a du mal à accepter par peur de la perdre. L'arrivée soudaine des trois filles du titans Atlas, Hespera (@helenmirren), Kalypso (@lucyliu), Anthea(@rachelzegler), voulant récupérer les pouvoirs confié par le Sorcier (@djimon_hounsou) à Billy et ses frères et soeurs : Freddie (@jackdgrazer/Adam Brody), Mary (@smoregrace), Darla (@faitheherman/@meagangood), Eugene (@theianchen/@rossbutler) et Pedro (@jovanarmandofficial/@cotrona23), le pousse à tout faire pour réunir les siens. Ensemble ils devront s'unir, avec leurs parents Rosa (@martamilans) et Victor (@smugorange), afin de vaincre la menace des trois soeurs prêtent à déchaîner leur colère sur le monde. Encore plus spectaculaire que le premier volet, avec un jeu incroyable des actrices jouant les trois soeurs ennemies, ce deuxième chapitre des aventures de Shazam, approfondit la notion de famille et prouve une nouvelle fois que la famille n'est pas une question de lien du sang, mais bien de lien du cœur. Personnellement, j'ai adoré ce film ! 😀 #shazam #shazamfuryofthegods #shazam2 #chosenfamily #zacharylevi #davidfsandberg #asherangel #helenmirren #lucyliu #rachelzegler #djimonhousnou #jackgrazer #adambrody #gracefulton #faitheherman #meagangood #ianchen #rossbutler #jovanarmand #djcotrona #martamilans #cooperandrews #galgadot #chroniquecinema #chroniquedefilm #chronique

Il faut savoir que j’adore le cinéma mais que je n’y connais pas grand chose. Je ne me suis jamais intéressée aux réalisateurs, producteurs ou même acteurs (ouais ouais ouais je suis un peu dédaigneuse sur les bords). CEPENDANT, ce film me donne envie d’améliorer mes connaissances dans ce domaine. 🧟‍♀️🧌Poor Things ou Pauvres Créatures (in French please) de Yórgos Lánthimos nous plonge dans une comédie noire et rétro futuriste (j’ai chopé les qualificatifs sur Wikipédia parce que je ne savais pas comment exprimer l’univers). Sur la forme, ce film est surprenant et presque très (trop ?) déstabilisant. Les 20 premières minutes j’étais été assez inquiète quant à ma capacité à plonger dans l’univers proposé parce que VRAIMENT il est bizarre. Il y a du Frankeinstein dans le personnage du Dr Godwin Baxter, les animaux sont à moitié oie et chien, et les 1ères scènes présentent une Emma Stone (Bella Baxter) presque décharnée, jouant du piano avec ses mains et ses pieds, recrachant son repas et s’exprimant par monosyllabe. Le tout filmé avec une caméra « fish-eye » en noir et blanc. Puis… les couleurs apparaissent et l’univers très détonnant nous aspire : les paysages, les couleurs et les tenues sont incroyables. Artistiquement, c’est une claque, j’ai rarement vu une telle proposition. Sur le fond, nous découvrons, en même temps que Bella Baxter, le monde. Cette jeune femme fut l’oeuvre du Dr Godwin Baxter (qu’elle appellera Dieu / God pendant quasiment tout le film, il ne me semble pas que ce soit un hasard), il la détenait « enfermée » dans sa maison depuis des années. Puis, elle va rencontrer Duncan Wedderburn (incarné par le très bon Mark Ruffalo) qui va l’emmener faire le tour de l’Europe en débutant par Lisbonne. Avec la naïveté d’une enfant elle va découvrir le monde et ses affres ainsi que ses plaisirs (l’érotisme va prendre une grande place dans le film). Ce film est une ode au féminisme et à la liberté. Il questionne aussi le lien entre la science et l’âme : sont-elles dissociables ? J’ai beaucoup aimé 🥰 ce film, je le conseille mais soyez averti : il est original et déstabilisant. Tu l’as vu ? Tu l’as aimé ?

🎬🍫🍭 WONKA 💛💛💛💛💛🖤 Je m'attendais à être déçu mais j'ai adoré ce film ! On m'avait prévenu : "tu verras, c'est sympa mais ça chante et ça danse dans tous les sens, c'est genre une comédie musicale !" Alors, oui, mais pas que... Il faut que je vous avoue que Charlie Et La Chocolaterie est un de mes bouquins de jeunesse préféré, je l'ai lu un nombre incalculable de fois, c'est aussi le seul film de Tim Burton (avec Sleepy Hollow) que je supporte, c'était l'époque où il faisait ce qu'il voulait et non pas des films de commande façon Alice Au Pays Des Merveilles, bref, c'est un autre débat... Là, c'est Paul King aux commandes, un réalisateur britannique connu notamment pour ses films sur l'ours Paddington, trésor national de nos amis d'Outre-Manche (on ne se remet toujours pas du Brexit, mais ça aussi, c'est un autre débat !). Et il faut reconnaître qu'il a fait du bon boulot. Je suis un peu taciturne en ce début 2024 donc je pensais que #wonka ferait un bide alors que pas du tout, le film fonctionne bien ! Narrer à partir de pas grand chose la jeunesse de Willy Wonka était un pari risqué, j'imagine... Mais franchement, le choix de Timothée Chamallow... euh... Chamalet en tête d'affiche était aussi judicieux qu'inattendu. Il s'éclate et rayonne à l'écran alors que moi, voyez-vous, je suis comme vous, je pensais qu'il n'avait à son registre que son habituelle expression flegmatique assortie d'un regard torve déclinés indifféremment aussi bien dans Call Me By Your Name que dans Dune ! Bah non... Il sait faire autre chose. Danser, chanter, sourire... Incroyable ! Oui, c'est très comédie musicale, mais une vraie fantaisie visuelle, très drôle par moments... Reste à savoir si on se laisse embarquer ou non... Comme j'ai dû être dans une autre vie sujet de la couronne britannique, je n'ai eu aucun mal pour ma part... Je chipoterai sur la fin que j'ai trouvé un peu à l'emporte-pièce, comme une retombée de soufflet où j'attendais quelque chose d'un peu plus spectaculaire... M'enfin, rien de bien dramatique. Bref, un moment vraiment sympa, je rêverais d'aller le revoir si j'avais le temps... #avisfilm #chroniquedefilm

🎬❄️LE CERCLE DES NEIGES sur #netflix 💛💛💛💛💛💛 Mylène Farmer chantait "la nature est tueuse" dans une de ses chansons (Fuck Them All, si je ne m'abuse), et force est de constater qu'elle ne croit pas si bien dire... au vu de ce qui est arrivé aux passagers du vol 571 de l'armée de l'air uruguayenne en 1972, transportant une équipe de rugby au Chili... et se crashant au beau milieu de la Cordillère des Andes... Une histoire bien connue de nos parents (remarquez comment je tente de me rajeunir au passage, non mais en vrai je suis né une dizaine d'années APRÈS cet évènement...) et qui a passionné l'opinion internationale et continue de le faire jusqu'à aujourd'hui pour les conditions dans lesquelles les survivants du crash ont réussi à tenir le cap jusqu'au dénouement inespéré de leur sort dramatique. En résumé : ils ont passé tellement de temps au milieu des neiges qu'ils ont dû rapidement se résoudre à transformer leurs camarades qui mourraient les uns après les autres... en ration sustentatoire (notez que j'utilise de jolis mots pour décrire l'indicible !). Le film est incroyablement fort et pudique à la fois pour parvenir à nous présenter les choses du point de vue des victimes du crash sans jamais sombrer dans le grand-guignol. Véritable plaidoyer pour ces survivants, ce qui nous paraît si excusable aujourd'hui (bien qu'absolument horrible) a posé à l'époque de vraies questions éthiques et morales dans un contexte où la religion avait une influence majeure sur la société. Un biologiste américain, Bill Schutt, croit bon de ramener sa fraise en décrivant cette transgression exceptionnelle d'un tabou alimentaire comme un péché. Rooooh... On aimerait t'y voir, gros malin, paumé sans rien à te mettre sous la dent en plein décor de la Reine des Neiges pendant 2 mois ! "Le pape fit parvenir aux survivants à la fois un télégramme de bénédiction et de félicitations, affirmant qu'ils avaient agi en chrétiens." nous apprend Wikipédia. Ouf ! Nous voilà rassurés. Il aura fallu attendre 2006 pour que sorte le 1er bouquin d'un des survivants, quand-même... Un film puissant et incontournable. #chroniquedefilm #avisfilm

🎬🕸️🕷️ VERMINES 🖤🖤🖤🖤🖤🖤 N'est pas Arachnophobie (avec Brandy 💛), film bidon mais culte de 1990, qui veut... Vermines essaie de surfer sur les vieilles recettes façon série B pour tenter de nous effrayer. Ce que j'ai trouvé de plus effrayant dans ce film, ce sont les incohérences du scénario qui semble avoir été entièrement rédigé sur une feuille A4 au crayon aquarellable une soirée trop arrosée, après un brainstorming entre potes sur les phobies les plus populaires... C'était les araignées ou la peur du vide, bon bah racontons une histoire abracadabrantesque à base de bêtes à huit pattes... sauvages et agressives... dans une barre HLM... OK. L'intro envoie du pâté mais le développement est un enchaînement de dialogues wesh-wesh et situations plus cliché et WTF les unes que les autres... Avec ce moment magique où les personnages groupés à la porte d'un couloir infesté d'araignées, par lequel ils doivent absolument passer pour rejoindre un parking, se lancent dans des débats philosophiques sur la suite des évènements OKLM sans craindre un seul moment de se faire attaquer... Grotesque. Donc sur le papier, le concept, bien qu'éculé, était sympa mais j'ai finalement pas du tout kiffé ce film. Le ciné de genre en France a encore du chemin à faire pour convaincre à nouveau... Dommage parce que sinon, c'est plutôt bien filmé... mais ça ne fait pas tout. Quand les araignées sont plus futées que les personnages principaux et secondaires, impossible de s'identifier à qui que ce soit... donc impossible d'adhérer... CQFD (en tout cas pour ma part). #critiquedefilm #chroniquedefilm #vermines

📺 L'EFFET VEUF (GOOD GRIEF en VO) sur #netflix 💛🖤🖤🖤🖤🖤 Le weekend dernier, je propose à chéri de regarder un film sur Netflix et je tombe sur cette nouvelle entrée dans la catégorie #filmgay de la plateforme... Je me dis : "Oh ! Peut-être une comédie dramatique touchante et inspirante ?" Que nenni ! Ne vous fiez pas à ce visuel très nineties feel good, ce film est vide de sens et totalement irréaliste (enfin selon mes propres critères d'appréciation). J'ai détesté le héros dès que je l'ai vu à l'écran, avec sa tête de chien battu en permanence, même quand il sourit, c'est ouf, le mec est mono-expressif, l'antithèse vivante du métier d'acteur qui suppose qu'on ait de multiples facettes de jeu, non ? Bon, bref, il perd son mari au début du film dans des circonstances un peu nases et découvre ensuite que celui-ci menait une double vie... Oooooooh ! 😱 S'ensuivent de longs monologues du pénis abandonné (sic) où on va bien bâiller en attendant qu'un soupçon de positivité et de vie éclaire le propos, ou du moins un minimum de crédibilité... et de sensibilité. Tout est calibré pour nous mettre le moral à zéro, y compris les personnages secondaires gonflants et (surtout) le pull montagne improbable, à grosse laine, et fraîchement acheté aux Comptoirs Écossais, qu'arbore le personnage principal avec une nonchalance aussi vague et inutile que toutes ses lignes de dialogue. À la rigueur c'est pas trop mal filmé mais le Paris de carte postale est aussi indigeste. Rien ne va. Où voulaient-ils en venir ? Convaincre les gays de ne pas se marier ? Que les mecs sont tous des pourris ? À partir du moment où le mec s'offusque que son mari défunt avait une double vie alors que dès le début, on apprend que leur couple était consenti comme libre, ça n'augurait rien de bon ! C'est bien beau de vouloir faire des films, mais louez-vous les services d'un script-doctor et cessez de nous casser les pieds avec vos personnages stéréotypés et poussifs auxquels personne de notre époque merdique ne saurait s'identifier... ! En bref : un film pour la génération du vide... Sans rancune. 😘 #goodgrief #critiquedefilm #chroniquedefilm #filmnetflix #lgbtq🌈

🍿HUNGER GAMES LA BALLADE DU SERPENT ET DE L'OISEAU CHANTEUR 💛💛💛💛🖤🖤 Sortir une préquelle 8 ans après la fin de la saga originelle qui a fait un carton au ciné était un pari plutôt risqué... Et bien que ce nouveau film ne se soit pas totalement ramassé au box-office, volant même la vedette aux Marvels et autres Napoléons du moment, le succès ne serait que d'estime en termes de gros sous de retour sur investissement en comparaison avec les films portés par Jennifer Lawrence... C'est pourtant loin d'être une catastrophe en termes de fan-service. On retrouve les bases de la mythologie #hungergames avec des précisions historiques relativement intéressantes. On découvre de nouveaux personnages plutôt convaincants pour les têtes d'affiche et beaucoup moins pour les rôles secondaires. Non pas parce qu'ils manquent de talent... Je parle plutôt d'écriture de personnages et du manque d'empathie qu'on peut ressentir pour eux par leur traitement superficiel, l'histoire s'attachant plutôt à les brosser succinctement au profit d'un duo principal aux relations (très) complexes. Je me suis posé la question de la légitimité de ce film et finalement, j'ai passé un moment plutôt sympa mais à vrai dire, il m'avait été tellement encensé que j'avais sûrement fondé des espoirs trop enthousiastes autour de mon visionnage maintes fois reporté pour raisons personnelles... L'histoire m'a semblé plutôt survolée mais j'ai adoré les costumes, la musique et surtout les décors, ainsi que l'anti happy-end du film, c'est déjà pas mal... 😅 Pour être honnête, je pensais pas que l'univers d' #hungergames aurait encore des choses à nous enseigner mais j'ai trouvé des résonances troublantes avec notre époque et ses affres, où la jeunesse est sacrifiée sur l'autel d'un monde virtuel à la violence ostentatoire dans l'indifférence générale, qui empêche de se reconnecter avec les vraies choses de la vraie vie... 🫣😤😅🤔😏 Le #youngadult en tant que genre ciné n'est pas encore tout à fait mort... si ? 😏🤔 #avisfilm #chroniquedefilm

Les cinq légendes, Peter Ramsey Ce film d'animation (l'un de mes préférés) dreamworks sorti en 2012, est accompagné par la magnifique musique d'Alexandre Desplat et est réalisé par Peter Ramsey. Il s'agit de l'adaptation du livre The Guardians of Childhood de William Joyce (@heybilljoyce). Nous y suivons les aventures de Jack Frost (Chris Pine), figure légendaire, mais victime d'un manque de reconnaissance, le rendant invisible du fait que personne ne croit en lui. Nommé pour devenir un gardien par l'Homme de la Lune, il refuse mais se retrouve bientôt embarqué dans une lutte contre le maître des cauchemars en personne, Pitch (Jude Law). Au cours de cette bataille, au côté du Père Noël (@alecbaldwininsta), du Lapin de Pâques (@thehughjackman), de la Fée des Dents (@islafisher) et du Marchand de Sable, Jack va devoir faire face à son passé, autant qu'à ses responsabilités. #riseoftheguardians #lescinqlegendes #dreamworks #dreamworksanimation #filmdanimation #theguardiansofthechildhood #alexandredesplat #peterramsey #williamjoyce #toothfairy #santaclaus #jackfrost #sandman #easterbunny #hughjackman #islafisher #chrispine #judelaw #alecbaldwin #chroniquecinema #chroniquedefilm #chronique #chroniquedanimation

Kaamelott Premier Volet, Alexandre Astier Dans le premier chapitre de sa nouvelle trilogie cinématographique, @aastieroff, nous raconte la suite de la série Kaamelott après qu'Arthur Pendragon est abandonné son royaume aux mains de Lancelot du Lac. Dans ce nouveau film, nous suivons donc Arthur, contraint bien malgré lui de retourner sur l'île de Bretagne, sous la coupe du tyrannique Lancelot. J'ai particulièrement aimé le parallèle fait entre les choix d'Arthur dans le présent et les souvenirs de son passé à la légion romaine, dans ce que cela montre de notre relation à notre passé, à comment il nous forge et nous influence. #alexandreastier #kaamelott #legendearthurienne #kaamelottpremiervolet #influencedupasse #arthurpendragon #lancelotdulac #chroniquecinema #chroniquedefilm #chronique

🍿 THE MARVELS 💛💛🖤🖤🖤🖤 Voilà, je vais être très dur avec ce film mais fondamentalement, je n'ai pas senti de connexion entre moi et cet Object Filmique Non Identifié. J'avais pourtant revu tout ce qu'il fallait avoir révisé avant d'aller le voir. J'ai même plutôt bien aimé la série Miss Marvel sur @disneyplusfr ! Mais le manque cruel de scénario, comblé par une entourloupe de comique de situation un peu trop tirée par les cheveux (je parle du switch permanent entre les trois héroïnes mais vous comprendrez mieux en allant voir le film... ou pas !) et quelques moments WTF plutôt malaisants (disons "musicaux" pour ne pas vous spoiler) ont bien de la peine à légitimer cet opus. Ils ont essayé de faire de l'humour façon Les Gardiens de l'Univers mais ça ne fonctionne pas, ici, désolé. L'alchimie entre les personnages est portée disparu au niveau galactique. Ça va être difficile de la retrouver dans un autre film les mettant en scène. Et j'espère à ce titre qu'ils oublieront cette ambition. Je suis donc reparti un peu en PLS en me jurant de ne plus aller voir un Marvel, parce que de base, je suis plutôt #dccomics voyez-vous, mais avec le temps, je m'étais pris au jeu de la concurrence... J'avais même couru voir plusieurs fois les deux derniers Avengers... J'aimais bien (sans plus) le personnage de Captain Marvel mais là, c'est la douche froide... C'est comme s'ils avaient essayé de saboter son personnage dont on sait pourtant qu'il est le plus puissant de tout l'univers Marvel... Et les effets spéciaux inégaux ne sauvent aucun meuble, cette fois. Ce film est un faux pas dans un multivers qui commence à tourner en rond pour de bon ! 😳 Pour le coup, je préférais la version très sombre de Doctor Strange and The Multiverse Of Madness, qui était vraiment plus prenant et passionnant visuellement, à défaut d'être hyper original par son histoire faussement complexe. #critiquedefilm #chroniquedefilm #themarvels #marvel #disney

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🍿☠️🎃 SAW X 💛💛💛💛🖤🖤 En tant que fan de la saga de #jigsaw j'attendais peut-être un peu trop de cet énième retour... Il faut toutefois reconnaître que ce dixième film a réussi à éveiller chez moi un plaisir coupable que je pensais disparu ! Pour comprendre la timeline dans laquelle s'inscrit #sawx : on est selon moi quelque part entre les 2ème et 3ème films de la saga, et Saw X constitue une sorte de spin-off dans le passé du tueur au puzzle, expliquant (encore) ses motivations et sa philosophie perverse. Mais le scénario est habilement écrit afin que le film fonctionne aussi en indépendant pour les néophytes qui ne connaîtraient pas l'univers de Saw (et décideraient de se procurer tous les autres films pour mieux comprendre). Malin ! Les nouveaux pièges... Car c'est ce dont vous voulez entendre parler... Eh bien, on oscille entre idées convenues et grotesques. Avec du gore qui tâche, bien sûr, sinon ce ne serait pas Saw... Perso, cet aspect pourtant primordial du film ne m'a pas trop convaincu... j'ai trouvé que les effets spéciaux et les maquillages étaient un peu aux fraises... ... mais qu'importe cette dimension cheap, j'ai littéralement adoré ce qu'on apprend (encore) sur Jigsaw, le retour de quelques personnages connus des fans de la saga, l'ambiance générale... les twists dans tous les sens... et surtout UN nouveau personnage central encore plus frappadingue que le tueur lui-même... Et une jolie inversion des forces entre eux... qui nous balade au milieu de sentiments contradictoires... J'en viendrai presque à espérer un onzième film... Presque ! Saw X a plutôt bien marché, on peut s'attendre à tout... PS : mon opus préféré reste toujours SAW 6 et pas juste pour le jeu de mots hasardeux dans la langue de Molière mais parce que c'était le meilleur de toutes ces suites en pagaille. PPS : il paraît que Destination Finale revient en 2024... info ? intox ? L'avenir nous le dira... #chroniquedefilm #saw #critiquedefilms

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Film : Ruby l’ado Kraken Universal Dreamworks animation @universalpicturesbelgium @dreamworks Un service presse choisi avec passion pour @dayonempm_   Préparez quelques pop-corn maison, Chauffez du chocolat, ajoutez-y du lait, mélangez, Prenez une couverture moelleuse, Installez vos enfants confortablement, Glissez le disque Ruby l’ado Kraken Blottissez-vous les uns contre les autres, Appuyez sur Play et rejoignez Ruby Gillman pour une aventure passionnante.   Ruby est une étudiante maladroite et adorable qui fait l’incroyable découverte d’être une descendante directe de la lignée des reines guerrières Kraken. Les krakens avaient juré de protéger les océans contre les viles sirènes. Destinée à occuper le trône à l’avenir, Ruby va devoir prendre des risques pour protéger ceux qu’elle aime.   Le film, réalisé par les créateurs de Shrek et de dragon, a beaucoup plus à mes grands loustics : un brin d’humour, des répliques percutantes, des animations sympathiques, une ambiance colorées, des jolies valeurs d’ouvertures d’esprit et de tolérance. J’avoue que j’aurai aimé retrouver plus de second degré à destination des adultes mais j’ai passé un bon moment moi aussi.   J’apprécie beaucoup ces petites soirées cinéma avec mes grands loustics. L’occasion de discuter ensemble du film le lendemain et de ne pas utiliser les écrans comme une babysitter pas trop chère mais comme un réel moment de partage.   L’avez-vous déjà vu ? Quel est le dernier film que vous ayez regardé en famille ? #rubyladokraken #ruby #film #filmenfant #filmenfants #cinema #cinemaenfamille #filmfamily #chroniquedefilm #chroniquecinema #soireetele #soiréecinéma #popcorn #popcorn🍿

Wonder Woman 1984, Patty Jenkins Film de l'univers DC Comics au cinéma sorti en 2020 et réalisé par Patty Jenkins avec @gal_gadot dans le rôle de Diana Prince/Wonder Woman. L'histoire se passe donc en 1984 presque soixante-dix ans après le premier volet. On y suit Diana qui depuis la fin de la première guerre mondiale s'est acclimatée au monde humain et travail désormais pour le @smithonian à Washington. Barbara Ann Minerva (Kristen Wiig), une collègue introvertie se lie d'amitié avec elle. Alors qu'elles travaillent conjointement pour s'occuper d'identifier et de cataloguer des antiquités retrouvées après un cambriolage et confiées à leur département, Diana découvre une étrange relique. Cette relique a le pouvoir d'exaucer le désir le plus cher enfoui au fond d'une personne. Diana, à laquelle la vie à tout pris, tombe dans le piège, perdant autant qu'elle gagne. Malgré tout ce trésor semblant inutile profite à un homme, Maxwell Lord (Pedro Pascal / @pascalispunk). Outre le fait de suivre dans une nouvelle aventure cinématographique un personnage que j'adore, le film nous fait réfléchir sur nos désirs les plus profonds et sur ce que nous serions prêts à sacrifier pour qu'ils se réalisent. #DCcomics #WW1984 #GalGadot #PattyJenkins #KristenWiig #PedroPascal #DCEU #MakePattyJenkinsWW3 #MakeWonderWoman3 #MaketheBatfleckmovie #releasethebatgirlmovie #MakeManOfSteel2 #chroniquecinema #chroniquedefilm #chronique

Wall-E, Andrew Stanton Film d'animation sorti en 2008 et réalisé par Andrew Stanton, co-réalisateur de 1001 pattes et du Monde de Nemo, Wall-E nous raconte l'histoire d'un petit robot compacteur de déchets, dernier survivant de la planète Terre, où la surconsommation à réduit la planète à l'état de décharge publique où l'existence n'est plus possible et où l'air est difficilement respirable. De nombreuses autres unités semblable à Wall-E ont périt au fur et à mesure des années tandis qu'elles tentaient de nettoyer la planète que les êtres humains ont fuit à bord de leur navire spatiale semblable à un paquebot. C'est alors qu'une sonde est envoyée à la recherche d'une forme de vie qui aurait pu naître sur la planète. Cette sonde, Eve, vient alors perturber le quotidien routinier de Wall-E, qui tel R2-D2, est passé d'un robot sans âme à une entité pensante et ayant des émotions, des comportements humains. Au travers de ce récit d'animation, Andrew Stanton nous montre les conséquences de la surconsommation, de la pollution. Par un jeu d'opposition il nous expose les faits suivants : là où se trouve la "vie" pour les êtres humains il n'y a que des coquilles vides, tandis que là où mort et destruction sont censées régner, la vie s'épanouit. Andrew Stanton se pose aussi la question suivante : et si la machine choisissait un jour pour nous ? #Wall-E #filmdanimation #Pixar #AndrewStanton #intelligenceartificielle #ecologie #chroniquecinema #chroniquedefilm #chroniquedanimation #chronique

📺🍿🇸🇪 SÉMINAIRE sur #netflix 💛💛💛💛🖤🖤 Basé sur le roman du suédois Mats Strandberg, "Konferensen", apparemment inédit chez nous... (hein, @bragelonnefr !?) ce #slasher suédois fait actuellement le buzz sur Netflix. Est-ce justifié ? Bah franchement, oui ! Si l'idée de base n'est pas d'une originalité folle - le thème du séjour de développement d'esprit d'équipe en entreprise qui tourne mal ayant déjà été fixé sur pellicule avec brio en d'autres temps par l'injustement méconnu Severance du britannique Christopher Smith - #seminaire se fend tout de même d'un humour noir plutôt jouissif en termes de meurtres gratuits et de personnages auxquels on ne s'attache pas vraiment mais qui sont suffisamment fun et antipathiques pour qu'on se délecte de leur fin... Un plaisir coupable idéal, en ces temps obscurs, et à l'approche d'Halloween. 🎃 J'ai aimé le design du #boogeyman et les références discrètes (mais assumées) à quelques œuvres slasheresques plus ou moins récentes : Sleepaway Camp, The Strangers, Vendredi 13, Mortelle St Valentin... C'était plaisant et enlevé, comme sur la fin du film, cette composition excellente, à la fois poussive et exaltée, d'une survival girl (d'un certain âge), rousse et tabagique, la plus improbable qu'il m'ait été donné de voir, de mémoire, dans un slasher movie... ! 😳🤣 À l'image décomplexée de Séminaire, qui vous fera vivre le temps d'un weekend de cohésion d'entreprise, les tensions d'employés qui se tirent dans les pattes comme dans le vrai monde du travail (vous relativisez du coup...) et se font décimer les uns après les autres dans des scènes un peu craspec et plutôt efficaces à défaut de développer un quelconque suspense. On ne lui demande pas plus. Le succès de ce petit film prouve que son genre pourtant ultra-rebattu a encore de beaux jours devant lui... comme celui de #scream nous l'a encore prouvé cette année...🪓🎃 C'est un bonbon acidulé sympatoche, pas indispensable au demeurant, mais qui passe bien en soirée pop-corn bien rencogné sur le sofa... 😏🎃 #netflixfrance #avisfilm #chroniquedefilm #filmnetflix

🍿 THE CREATOR 💛💛💛💛🖤🖤 Un homme tente désespérément de retrouver son amour perdu sur fond de guerre mondiale opposant Occident et Orient sauce trahison, transhumanisme, cyborgs et autres intelligences artificielles ayant soif d'émancipation ! C'est sans compter sur l'existence d'une arme d'un nouveau genre qui pourrait changer le destin de la planète entière... On aurait pu frôler le chef d'œuvre avec ce film SF à tendance #cyberpunk si son défaut majeur n'était la futilité de sa partition musicale pourtant composée en majeure partie par Hans Zimmer (qu'on a connu du coup plus inspiré). Parce que ce qui se passe à l'écran est assez mouvementé pour être supposément soutenu par un thème musical fort et marquant... aux abonnés absents ! Dommage. L'histoire ne brille pas non plus par sa singularité et invoque volontiers des influences plus ou moins solides telles que Blade Runner, Oblivion, District 9 ou Elysium, un peu d'After Earth ou de Chappie pour une forme de naïveté de fond, mais plutôt maîtrisée cette fois, pour ne pas trop sombrer dans la niaiserie. Oui, certains moments sont téléphonés et ça manque un peu de profondeur, il est vrai, mais l'ensemble demeure un divertissement visuel rafraîchissant et sans longueurs, parfois étonnamment punitif quand on sait que le film est estampillé " production Disney" mais cela signifie-t-il encore quelque chose ? Vous avez 4h... 🤔😅 Les scènes d'action sont propres et lisibles, les acteurs plutôt inconnus au bataillon mais investis, les décors naturels savamment exploités... et les effets spéciaux convaincants. C'est déjà pas mal ! 😁 J'accompagne cette chronique express d'un morceau de musique utilisé dans le film... pour vous mettre dans l'ambiance. Bref, même si la programmation ciné du moment ne vous botte pas, ne loupez pas #thecreator sur grand écran... ! #avisfilm #chroniquedefilm #sf #sciencefiction

~ ON DIRAIT LA PLANETE MARS ~ Aujourd'hui, je ne vous parle pas d'un livre mais d'un film que j'ai eu l'occasion d'aller voir grâce à UFO Distribution et le site Avoir / Alire. 🎬 Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en allant voir "On dirait la planète Mars". Finalement, j'en suis ressortie avec l'impression d'avoir passé un bon moment. Le scénario est drôle, original et bien ficelé. Les séquences et situations amusantes nous font passer du sourire timide au rire franc. Comique de situation, burlesque, quiproquo, gag de répétition, "On dirait la planète Mars" semble ciselé, parfois décousu et pourtant la magie a opéré. 💻 Vous pouvez découvrir ma chronique dans son intégralité sur mon blog (lien dans ma bio). - Places offertes par UFO Distribution et Avoir / Alire, collaboration non rémunérée. - #cinema #filmquebecois #stephanelafleur #ondiraitlaplanetemars #ufodistribution #avoiralire #chroniquedefilm

Salut la communauté 🤗 Je vous partage ma première chronique de film qui parle de Barbie de film. Est-ce que vous l'avez vu? Synopsis: A Barbie Land, vous êtes un être parfait dans un monde parfait. Sauf si vous êtes en crise existentielle, ou si vous êtes Ken. Mon Avis: Je sors tout juste du cinéma et je dois dire que même si j'ai apprécié ce film qui dénonce le patriarca de façon pertinente, je suis un peu mitigée. Le film est très bon et bien mené avec des rebondissements inattendus, mais j'ai trouvé que la fin ne mettait pas assez en avant l'égalité entre les hommes et les femmes. Même si c'est un peu cliché, j'aurais aimé qu'on parle d'amour et pas seulement de la place de chacun dans notre société. Même si Barbie & Ken a conditionné notre enfance pour certains, je pense que nous ne sommes pas fait pour vivre seuls. Certes, il faut d'abord s'épanouir, s'aimer et trouver sa place dans la société avant de se tourner vers les autres, mais je trouve dommage qu'ils ne finissent pas ensemble avec une place égalitaire pour chacun d'entre eux. Qu'ils partagent tous les deux le royaume de Barbie en se répartissant les maisons entre hommes/femmes et couples. En résumé : un bon divertissement, malgré cet arrière goût amère sur l'inégalité homme/femme. #barbie #cinéma #chroniquedefilm #pathegaumont #lesjouetsdenotreenfance #chroniqueuse #divertissement

🎬🍿LE CROQUE-MITAINE 💛💛💛🖤🖤🖤 Le problème avec les films d'horreur, c'est que si vous ne ressentez pas d'empathie pour les protagonistes, vous vous fichez bien de ce qui peut leur arriver à l'écran, et c'est à peu près ce que j'ai ressenti avec ce film sympatoche mais passe-partout. Ou alors je suis vieux et blasé, revenu de tout, je ne sais pas. J'ai juste trouvé que #lecroquemitaine faisait dans la demi-mesure au lieu de trancher dans le vif et de faire vraiment flipper... Apparemment, pas mal de gens ont adoré le film au point de faire pipi dans leurs culottes. Ok. Génération fragile et impressionnable qui n'a pas connu la vraie peur atmosphérique d'un shocker des eighties ? En résumé, on est sur un mix un peu Wish et réchauffé entre Mama et Mister Babadook, et non, ce n'est pas vraiment un compliment. LOL C'est plutôt bien filmé dans l'ensemble mais monté sans goût ni tentative de sortir des sentiers battus. Le film aurait pu être captivant mais non, le rythme est à la fois chiant et expéditif, tout ce que je déteste en termes d'écriture. Aussitôt vu, aussitôt (presque) oublié. PS : une interprétation freudienne douteuse du film le rend en revanche plus "intéressant" mais pour ça, il faut vraiment accepter de le regarder sous cet angle et non sous le plus évident, celui d'une relative médiocrité. C'est ce qui m'incite à donner la moyenne... #critiquedefilm #chroniquedefilm #avisfilm

🍿EVIL DEAD RISE (avant-première avec les vendredis de l'horreur de @pathefrance 🩸) 💛💛💛💛🖤🖤 Je suis mitigé sur ce nouvel opus de la célèbre saga Evil Dead. En même temps, difficile de faire mieux que le dernier remake/reboot en date (celui de 2013) qui a fait l'unanimité en son temps. Evil Dead Rise sera forcément plus clivant dans le sens où bien qu'il tente une nouvelle approche avec quelques ingénieuses surprises, comme l'a dit mon collègue qui était avec moi au ciné : "on n'apprend rien de plus !" J'ai cependant apprécié que le film soit parfois tourné caméra au poing, et la mise en scène générale, effrénée. L'incipit du film est à ce titre vraiment efficace et diabolique. Malgré une ambiance très pesante, ce sont véritablement les invraisemblances des réactions des personnages et les facilités/raccourcis scénaristiques qui m'ont sorti de l'implication émotionnelle. J'avais l'impression d'assister à une exposition continue d'effets hyper gores (et plutôt réussis et dégoûtants dans l'ensemble) sans trop savoir ce que le film voulait nous raconter. Les décors faisaient très décors (sic). Je trouvais qu'ils manquaient d'authenticité pour nous convaincre que nous étions dans la vraie vie et pas dans un film... Dommage. Le design sonore était en revanche un vrai personnage du film, global et hypnotisant, malaisant... Tout comme les excellents maquillages et effets numériques (discrets ou relativement bien exécutés). Le film était nerveux et craspec comme son prédécesseur et j'ai vraiment apprécié qu'il déjoue continuellement nos attentes avec une surenchère de violence - étonnamment épargnée par la censure (ce qui est rassurant à une époque où tout est aseptisé). Cependant, je n'ai pas ressenti d'affect pour les personnages (pourtant joués avec conviction) au point de m'identifier, donc je me suis senti plus stressé et oppressé que véritablement effrayé par le film. (Tout est dans la nuance, et Evil Dead Rise n'en fait justement pas) Il y avait un peu de fanservice pour les connaisseurs de la saga par-ci, par-là. Plutôt cool mais pas suffisant pour rendre cette suite iconique. #avisfilm #chroniquedefilm #evildead #evildeadrise

🍿🐉DONJONS & DRAGONS : L'honneur des voleurs 💛💛💛💛💛🖤 Imparfait donc forcément charmeur ! C'est ainsi que je résumerais ce joli bordel qu'est l'adaptation filmique du célèbre jeu de plateau Donjons & Dragons. Ça commence à la fois sur les chapeaux de roue mais aussi très longuement, un sentiment assez étrange. Cette vaste partie d'exposition permet cependant de se familiariser avec les personnages et l'univers, et pêche parfois côté humour. Perso, j'ai eu du mal avec ce paramètre, du moins au début. (je suis mauvais public en termes de rigolade, ceci-dit) Petit à petit, D&D développe son intrigue qui n'est pas hyper révolutionnaire et plutôt linéaire, soyons clairs : un héros constitue une troupe pour tenter de sauver sa dulcinée du trépas et le monde menacé par les forces obscures, par la même occasion... Wahou. C'est limite plus lisse que Warcraft... Et pourtant... On finit bon gré, mal gré, et à l'aide de quelques bonnes idées, par se laisser embarquer. Visuellement, on passe sans crier gare (et alternativement) de plans moches façon téléfilm à des séquences plus ambitieuses voire carrément splendides. Avec un certain sens de l'artisanat qui n'est pas sans rappeler Willow (si cher à nos cœurs). Il y a même une séquence géniale vers la fin, qui évoque un mix entre Harry Potter et Le Labyrinthe, mais j'en dis déjà presque trop... 😏 Bref, à défaut de se placer au niveau dramatique d'un Seigneur Des Anneaux, D&D assume son côté pop-corn et fun à fond, sans jamais être consternant ni lassant, servi par des acteurs plutôt impliqués et des effets spéciaux en moyenne plutôt convaincants... Bien aimé retrouver les figures emblématiques du bestiaire de D&D... Même si ça manquait un peu de donjons pour le coup, LOL ! 🤔😂 Le genre de film qui se bonifie probablement au second visionnage, que j'espère avoir le temps de m'organiser prochainement ! #avisfilm #chroniquedefilm #donjonsetdragons

J’ai eu la chance de voir se film en projection privé en présence de @jeandujardin et ce fut un spectacle empreint de douceur et de force. Cette œuvre réalisée par @denis_imbert_ est tirée du livre de Sylvain Tesson et de son histoire personnelle. Jean Dujardin joue de maître ce rôle en y mettant sa patte. La vie d’un homme chamboulée suite à un accident va le pousser dans ses retranchements, une quête ultime de soi afin de se reconstruire, de guérir et mieux se connaître à travers une traversée dans le Cantal. Un moment agréable où nous pouvons tous nous identifier à travers nos expériences de vie mais aussi découvrir en image la beauté de cette région, une parenthèse d’oxygène. Jean Dujardin nous a raconté quelques anecdotes dont le fait qu’un des comédiens jouant un paysan n’était pas prévu au tournage, une improvisation touchante comme cette histoire. Ce film est un périple pour la vie. #cinema #chronique #chroniquefilm #filmfrancais #jeandujardin #sylvaintesson #surlescheminsnoirs #voyage #decouverte #cinematographie #critique #critiquecinema #cinema2023

Retour en 1985 avec le Diamant du Nil ! Rushé par ses producteurs suite au succès d'A la poursuite du Diamant Vert, la mise en image de ce follow-up le rend hélas plutôt "meh". Pourtant, sur le papier, tout y est pour une suite parfaite. Au moins, on s'amuse, et il mérite largement de le redécouvrir. Critique complète ici 😎🐪 https://collection120.com/cinema/critique-retro-le-diamant-du-nil-collection120/ #critique #retro #film #cinéma #chroniquedefilm #michaeldouglas #dannydevito #alapoursuitedudiamantvert #lediamantdunil

🍿SCREAM VI 🔪 💛💛💛💛💛💛 Ça y est, je peux enfin vous parler (sans spoiler) de #scream6🔪 ! S'il m'avait fallu plusieurs visionnages de Scream (5) pour l'apprécier, sa suite m'a immédiatement plus que convaincu. Regorgeant d'idées et se jouant des attentes des fans pour réinventer la recette éculée du #slasher emblématique des années 90, ce nouveau film ne manque pas d'audace. Les références à la saga sont bien amenées, parfois subtiles. Les nouveaux personnages sont mieux définis, la réapparition de Gale Weathers aussi iconique qu'efficace, et le film parvient à captiver de bout en bout dans un vrai #whodunit enchaînant mise en scène nerveuse, dialogues savamment dosés, humour et gore qui tâche (c'est le plus sanglant de tous les Scream, je pense) sans sombrer dans le grand-guignol grâce à une approche de la violence graphique tout aussi frontale que succincte. Bien joué ! (on sent que #kevinwilliamson a supervisé la chose avec implication) Bref, on nous ballade de surprises en surprises, c'est bien filmé avec un montage réussi et sans temps mort, ainsi qu'une bande-son moins anecdotique que dans le film précédent (ouf !). Scream VI se paye le luxe de nous rappeler - grâce au contexte d'Halloween et à de multiples références visuelles qu'on se plaira à déceler (je pense à la scène du métro où les usagers sont déguisés en divers monstres iconiques de films d'horreur) - que l'épouvante cinématographique qu'on croyait passée à la postérité, fait partie bon gré mal gré de notre culture commune. Le seul mini reproche que je ferais, c'est que la séquence de fin est un chouia trop explicative, mais tellement cynique que ça passe crème... ! Vivement le septième opus... s'il est aussi qualitatif que ce sixième film, dont je n'attendais rien pour être honnête, et qui m'a totalement conquis. D'ailleurs, je retourne le voir demain soir ! 🔪🍿🖤 Conseil : revoyez Scream 2 pour faire des parallèles (voulus) avec ce film... 👀 Je pense que feu #wescraven aurait adoré ce nouveau Scream... RIP 🖤 PS : n'en déplaise, Scream 3 reste toujours mon épisode favori, même si ce Scream 6 fait vaciller mes convictions... 🤔 #avisfilm #chroniquedefilm #slashermovie #scream

✒️ Film coup de coeur ! "The pale blue eye", un film de Scott Cooper - exclusivité Netflix - le 6 janvier 2023. ✒️ Ouch !!!! Ce n'est pas souvent que je parle de films sur ma chaîne. Culpabilité de manger trop de streaming, je me limite beaucoup dans cet exercice et, bien souvent déçue par les nouvelles productions cinématographiques, je me dévoue davantage à mon sport favori, la lecture. ✒️ Mais à la découverte de ce film suspense d'époque, adapté d'un roman de Louis Bayard, "Un oeil bleu pâle", je ne peux m'empêcher de vous en parler, tant mon ressenti sur ce film est admirable. ✒️ 1830. Un détective chevronné, Augustus Landor (incarné par Christian Bale) est appelé pour enquêter sur une mort suspecte au sein de l'Académie militaire américaine de West Point, aidé par une jeune recrue méticuleuse qui deviendra plus tard un auteur mondialement connu, Edgar Allan Poe (Harry Melling). ✒️ Quelle atmosphère ! On découvre un Christian Bale ténébreux, parfait dans son rôle de veuf abîmé et le duo avec le cadet Edgar Allan Poe fonctionne parfaitement dans ces enquêtes sordides. ✒️ Rien n'est laissé au hasard. Chaque plan amène le spectateur à réfléchir et scruter l'image en profondeur à la recherche d'indices, comme dans un Cluedo. La lumière a fait l'objet d'une attention particulière, on se croirait dans un tableau de Caravage. Mais l'ombre et la nuit ne sont pas en reste. Certaines scènes m'ont littéralement fait sursauter. L'examen des cadavres était éprouvant, comme si j'y étais 🤢. ✒️ L'acteur qui incarne Edgar Allan Poe est fabuleux ! Rappelez vous...Dudley, l'affreux cousin de Harry Potter, c'est lui ! L'acteur Harry Melling incarne à merveille l'auteur déchu des "Histoires extraordinaires" que j'ai tant aimées, avec son front bombé, les yeux rapprochés, la constitution chétive, l'attrait pour la bouteille...et son jeu de mains qui ajoute à sa grande sensibilité. Je l'ai adoré ! ✒️ Adorées aussi les scènes de tension extrême, les dialogues attentifs et tendus, la présence de la poésie, bien sûr et l'amour, qui transcende, qui aliène, qui tue. ✒️ Précipitez vous sur ce film et dites moi si vous avez aimé ! Peut être avez vous lu le livre ?

🎬🍿 M3GAN 💛💛🖤🖤🖤🖤 En termes de poupées tueuses, on a eu Chucky, Annabelle, Brahms de The Boy, et plus récemment Meghan Markle dans un autre style 😂 bref, comprenez juste que nous sommes avec ce film dans la tradition de l'exploitation du joujou tueur qui perdure depuis les années 80, et revient de manière cyclique à chaque solstice de lune de sang... 🙄 Gemma, roboticienne, crée une poupée intelligente pour prendre soin de sa nièce récemment orpheline... sauf que le jouet prend un peu trop son rôle au sérieux... Voilà un pitch d'une originalité renversante ! Avec son look oscillant entre Mariah Carey époque The Emancipation Of Mimi, Alita pour les effets spéciaux oculaires chelou, et les fringues rétro flippantes d'Esther, #m3gan est malaisante (seule réussite du film) dès son apparition à l'écran et ne cessera de l'être jusqu'au clap final. Big up aux séquences nauséeuses où M3gan chante ou danse... 😂😱🤯 Cependant, entre les clichés éculés et les incohérences qu'aligne allégrement le scénario, qui parvient à être expéditif en 1h42 (expliquez-moi ???), ainsi que des personnages principaux et secondaires complètement teubés qui font tout ce qu'il ne faut pas faire histoire de bien agacer les nerfs d'une poupée esclave de sa programmation qui rêve d'émancipation (d'où la référence à MC)... eh bien, j'avais carrément plus tendance à sourire et rigoler qu'à frémir ! La mise en scène ne laisse s'installer ni tension ni suspense, les lignes de dialogue sont plus drôles que dramatiques, en fait, j'avais plus l'impression de regarder un épisode plutôt moyen et comique de #blackmirror qu'un véritable film d'horreur. De toute façon, tout ce qui est supposément graphique est soit raté (la scène de l'oreille), soit hors-champ. Oups. Quand on parle de poupée tueuse, on veut de la castagne mais aussi du sang ! Ce bon vieux #chucky peut dormir sur ses deux oreilles et affûter son couteau... M3gan est donc plutôt aseptisée, et plus marrante que vraiment effrayante, aucune empathie n'est possible envers ses victimes, et finalement, je me demande si c'était pas l'objectif des gens qui ont conçu ce projet filmique... 🤔 #avisfilm #chroniquedefilm

Mon TOP 3 films 2022... ... est en fait un top 7 ! Pourquoi ? Parce que ces 7 films m'ont procuré les mêmes sentiments de réjouissance et de satisfaction au clap final, le fameux effet WOW. Parce que si j'avais eu plus de temps, je les aurais sûrement tous revus au moins une fois... J'ai hiérarchisé dans un ordre de préférence... 1/LE MENU 2/LA BRIGADE 3/DECISION TO LEAVE 4/X 5/DOCTOR STRANGE IN THE MULTIVERSE OF MADNESS 6/VESPER CHRONICLES 7/DON'T LOOK UP (DÉNI COSMIQUE) Ça me rassure de voir que je suis toujours davantage friand de films de genre plutôt que grand public... PS : pour qu'un Marvel intègre ce top, il faut vraiment qu'il soit exceptionnel... 🙈 et puis, j'ai décidé de mentionner aussi un film sorti exclusivement sur #netflix (Don't Look Up) pour la simple et bonne raison que c'est un film génial... que je ne pouvais pas laisser sur le carreau ! PPS : merci à vous d'avoir lu et commenté mes chroniques ciné qui étaient un peu la nouveauté de 2022 (amorcée en 2021...) sur mon #bookstagram et que je compte réitérer en 2023... 🤔😊 PPPS : non, je n'ai toujours pas vu Avatar 2 😂🤣 #chroniquedefilm #avisfilm

Je vous invite à swiper pour lire la chronique 😊 L’avez-vous vu ? Pensez-vous le regarder ? #environnement #rechauffementclimatique #ecologie #ecolo #mieuxconsommer #elevage #peche #société #chroniquedefilm #chroniquedocumentaire #youtube #mangernousmeneraalextinction #eatingourwaytoextinction #documentaire #hugoclement

🎬🍳 LE MENU 💛💛💛💛💛💛 Parmi les expériences possibles dans la vie d'un cinéphile, il y a ces films dont on ne voit aucune bande-annonce et qu'on découvre donc vierge de toute information. Ce soir, mon ciné local organisait l'avant-première de #lemenu : un thriller sophistiqué dont la force réside dans son idée de départ, aussi ne vous exposerai-je pas son pitch afin de préserver votre propre visionnage. Car j'espère que vous irez le voir ! C'est mon coup de cœur glaçant de cette fin d'année. Le Menu fait partie de ces films qu'on va soit aimer ou détester mais auxquels on ne peut rester insensible tant ils sont traversés de plusieurs niveaux de lecture, et vous hantent (idéalement, à moins que vous soyez dans l'opposition totale...) une fois que les lumières se rallument. C'est aussi le genre de films qui donnent à voir (ou ressentir) une violence qui va au-delà de celle graphique, se jouant ici dans des dialogues délicieusement venimeux, rythmant une progression lente et enivrante du suspense. À cet égard, j'ai été totalement bluffé par le casting réussi de part en part, pour des personnages investis de telle sorte que nous nous sentions en symbiose avec la terrifiante expérience qu'ils vivent à l'écran. Bravo ! 👏🏼😁 La fin, à la fois diablement rusée mais d'une simplicité et d'une évidence désarmantes, m'a laissé groggy et figé sur mon siège alors que le générique débutait et que les spectateurs quittaient la salle. Envoûté. Perturbé. Le cerveau en ébullition. Formellement, rien à redire, le métrage est shooté avec goût et sans fioritures. Et sert parfaitement l'histoire tordue sans un moment de répit, sans aucune longueur à déplorer. J'espère que vous aimerez... Allez-y sans regarder de bande-annonce, si possible ! 😘 PS : totalement fan de Ralph Fiennes dans ce rôle à contre-emploi et d'Anya Taylor-Joy qui m'épate toujours davantage à chaque fois que je la retrouve à l'écran (si géniale dans Last Night In Soho...). Vivement le prochain Mad Max... 😉 #avisfilm #chroniquedefilm #avantpremiere

📺🎬🎃 LE MAUVAIS ESPRIT D'HALLOWEEN (The Curse Of Bridge Hollow en VO) sur #netflix 💛💛💛💛🖤🖤 Petite chronique rapide sur ce film sorti pour #halloween 2022 sur Netflix et que je n'ai vu que récemment pour la bonne raison qu'en période de trick'o'treat, j'étais en vadrouille et très occupé... ... Je ne suis pas la cible de ce film estampillé "pour ados" mais j'ai passé un super moment, c'était clairement pas le film de l'année, soyons clairs mais c'était relativement bien filmé, souvent drôle (ça m'a rappelé la version filmique de Chair de Poule que j'avais bien aimé aussi), un peu niais parfois mais pas trop, et puis Marlon Wayans, c'est un crush, je l'adore... Kelly Rowland en actrice, mouais, ça passe mieux que son rôle mythiquement oublié dans Freddy Contre Jason. Si, moi, Cédric, j'ai ri à certains gags, c'est que le film est pas mal. En tout cas, si vous voulez vous poser devant avec des ados, vous ne subirez pas trop ce visionnage, il se pourrait que vous aimiez aussi... Ah oui ! Mais ça parle de quoi ? En résumé : une famille débarque dans une petite ville en période d'Halloween où il semble que la fête soit particulièrement chère au cœur des habitants et de leur mairesse très enthousiaste, mais les choses commencent à dégénérer lorsque ces nouveaux voisins découvrent au grenier de leur nouvelle baraque une mystérieuse jack-o'-lantern... #avisfilm #filmnetflix #chroniquedefilm

🎬📺 BARBARE (Barbarian) sur #disneyplus 💛💛💛💛💛🖤 Quoi ? Disney+ publie des films d'horreur ?! Mais c'est affreux ! Je cite la réaction populaire globale que j'ai pu lire dans des coms sur FB à la sortie de #barbare sur la plateforme de Mickey. "Je paye un abonnement pour rêver, pas pour faire des cauchemars !" Et autres joyeusetés du même acabit... Bon, Mickey doit bien s'aligner sur la concurrence et moi je trouve ça cool que la célèbre firme franchisse le pas. Il existe toujours le contrôle parental sur les plateformes de streaming, hein, ça sert à ça... Tess débarque de nuit au Airbnb qu'elle a loué dans un quartier mal famé de Detroit parce qu'elle passe un entretien d'embauche le lendemain matin. Problème : il est déjà loué par un mec et l'agence qui supervise les locations est injoignable... ce qui s'avère bientôt être le cadet des soucis qui attendent la jeune femme... L'air de rien, ce film a eu de bonnes critiques et un bon succès d'estime. Moi qui ai vu des centaines de films d'horreur divers et variés, je suis forcément plus difficilement impressionnable. Cependant, je dois avouer que je me suis laissé berner par la structure morcelée du film et son ambiance cynique et oppressante, qui se jouent de nos nerfs avec des fausses pistes du début à la fin, et des twists plutôt efficaces... Il manquait peut-être un peu de montage cut pour être parfait. Mais j'ai passé un bon moment ! #barbarian n'explicite pas tout, ce qui est plutôt positif de mon point de vue. Ça m'a rappelé par la narration la période d'or des films d'horreur britanniques très sympathiques (genre autour de 2005, je songe entre autres à Creep et The Descent...). Et une vague plus récente de home invasion/shockers domestiques tels que La Proie D'Une Ombre, The Boy, The House Of The Devil, Don't Breathe ou le coréen Parasite... (je pourrais en citer encore plein...) Bref, sans révolutionner le genre, voilà un film qui fait le job et parvient à surprendre surtout par ses choix narratifs, sa tonalité et un certain goût pour la flippe épidermique et le gore qui tâche, sans sombrer dans le grand-guignol. 😉 #avisfilm #horreur #epouvante #chroniquedefilm

🎅🏼📺 NOËL TOMBE À PIC (Falling For Christmas) sur @netflixfr 💛🖤🖤🖤🖤🖤 Rien ne va dans ce film censé signer le retour de LiLo sur petit écran. 1er constat, #lindsaylohan a morflé de ouf. Je l'adore, c'est pourquoi je me permets d'être dans le jugement objectif : l'alcool et la chirurgie esthétique ont fait des ravages sur le visage autrefois mutin de l'ancienne star made in #disney 😱 je veux bien qu'elle ait 36 ans et plus 20 ans mais franchement, elle en fait 10 de plus. Ça m'a fait de la peine de la voir comme ça. D'ailleurs, LiLo elle-même semble se demander ce qu'elle fout dans cette galère de Noël car elle survole son rôle sans jamais vraiment s'impliquer ni y croire, en tout cas, c'est ce que j'ai ressenti. Il faut dire que le film coche tellement toutes les cases de clichés attendus d'une romance de Noël option gnangnan qu'il vaut mieux le regarder pour se moquer ou en fond pendant que vous fourrez la dinde 🦃 parce que clairement, vous aurez mieux à faire. On y suit les tribulations d'une riche héritière amnésique suite à un stupide accident de ski, recueillie par un père de famille veuf et désespéré... Voilà, pas grand chose de plus à dire à part qu'entre les décors moches, les personnages plus mielleux et insupportables les uns que les autres, le stylisme dégueulasse, un caméo du Père Noël plus flippant et douteux qu'adorable, et une histoire cousue non pas de fil doré mais de fil blanc cassant, on appréciera le mini hommage musical à une scène mythique bien connue de Lolita Malgré Moi. Le reste n'est qu'une enfilade de tout ce qui se fait de meilleur en termes de mauvais goût à l'américaine... Peut-être que mon erreur a été de regarder le film en VF car le doublage était vraiment affreux alors que j'adore la voix un peu caverneuse de LiLo en VO (on l'entend d'ailleurs sur le goof de générique qui est bien plus drôle - malheureusement - que le film lui-même...). Mais pas le courage de me retaper l'heure et demi de guimauve toxique en VO... Finalement, après avoir vu cette purge, je suis presque content de travailler pour Noël cette année ! 😵‍💫 #avisfilm #chroniquedefilm #fallingforchristmas❄️ #noeltombeapic